Certes, SearchSavant, un site mal foutu restera un site mal foutu... mais l'export et la sauvegarde, c'est un peu comme une assurance. On espère ne jamais en avoir besoin, mais le jour où ça arrive, on est bien content de l'avoir. Et puis, c'est pas parce qu'on est boulanger qu'on n'a pas le droit de faire les choses proprement. 😉
Salut Alice,
C'est une excellente question ! 👍 Pourrais-tu préciser le type de campagnes dont tu parles ? (Ads, emailing, etc.) Et quels outils utilises-tu principalement ?
Ca aiderait à te donner des conseils plus précis. 😉
Quand Alimov dit de se méfier des promesses de résultats immédiats, je plussoie à 200% ! Le marketing digital, c'est pas un sprint, c'est un marathon. Faut construire une stratégie solide, tester, ajuster, et surtout, être patient. Les 'gourous' qui vous certifient une place en top position Google en un claquement de doigts, c'est souvent du vent.
Alimov, tu touches un point sensible avec les UTMs. C'est clair que c'est la base, mais souvent négligé. Bien taguer ses liens, c'est comme faire ses lacets avant de courir un marathon : si c'est mal fait, tu vas te vautrer.
Et pour compléter sur l'aspect RGPD soulevé par Théo, c'est là que le bât blesse avec l'automatisation à outrance. Si on importe des données à tout-va dans Google Sheets ou Databox sans se soucier du consentement, on est hors-jeu.
Faut vraiment s'assurer que les outils utilisés sont conformes. Par exemple, si on utilise Google Analytics, il faut bien configurer l'anonymisation des adresses IP (même si l'efficacité est discutable depuis l'arrêt du Privacy Shield). Et dans les plateformes pubs, c'est pareil, faut limiter le ciblage aux audiences consentantes.
Après, pour la collecte de données, perso, j'essaie de privilégier les données déclaratives (celles que l'utilisateur donne volontairement) plutôt que les données comportementales traquées à la volée. C'est moins précis, mais ça réduit les risques juridiques et ça renforce la confiance.
Pour illustrer, au lieu de traquer tous les clics sur un site web avec des outils complexes, on peut mettre en place des formulaires d'inscription clairs et transparents, en expliquant clairement comment les données seront utilisées.
Et pour les outils payants comme Databox, faut bien vérifier leurs engagements en matière de RGPD avant de s'engager. Ils doivent être en mesure de fournir des garanties suffisantes en termes de sécurité et de protection des données. C'est un investissement, mais ça peut éviter de grosses galères par la suite. Bref, RGPD et tracking, c'est un mariage compliqué, mais pas impossible si on fait les choses correctement.